Elle était la présidente de leur fondation et, depuis septembre, Isabelle Laboulais est aussi directrice des Presses universitaires de Strasbourg (PUS). L’enseignante-chercheuse revient sur la réorganisation de la structure qui a accompagné sa prise de fonction, nécessaire pour remplir la feuille de route qu’elle s’est fixée.
Pourquoi une telle réorganisation des PUS, en septembre 2017 ?
Le président Michel Deneken a souhaité qu’un enseignant-chercheur assure la direction scientifique de la maison d’édition. Par souci de cohérence, il lui a semblé plus logique que les deux fonctions de direction et de présidence de la fondation – une spécificité strasbourgeoise – soient assurées par la même personne.
Dites-nous-en plus sur ce nouvel organigramme…
Je travaille en binôme avec Katherine Sowley, première directrice adjointe des PUS. En tant que directrice éditoriale, ma mission principale concerne le suivi des projets de publication, même si Katherine Sowley siège également au comité éditorial et que nous travaillons étroitement ensemble à la valorisation des livres et des revues publiées par les PUS.
Les autres fonctions ont été resserrées et réparties en trois pôles : administratif et financier, communication et diffusion, et éditorial (consulter l’organigramme). À noter, au sein de ce dernier, la création grâce à l’Idex d’un poste de chargé de projet d’édition numérique, déterminant pour accompagner la mutation vers la diversification des supports de diffusion des travaux universitaires.
La numérisation était déjà annoncée comme prioritaire en 2016. Qu’en est-il aujourd’hui ?
2018 sera l’année de la concrétisation de ce projet. Nous diffuserons nos collections sur Open Edition Books, elles seront en accès libre depuis les portails des bibliothèques partenaires (la plupart des bibliothèques universitaires). En n’imposant pas d’embargo sur la mise en ligne des articles publiés dans les revues éditées par les PUS, nous allons plus loin que la loi Lemaire de 2016 et nous engageons en faveur de la science ouverte. Nous allons aussi déposer nos publications dans Univoak, les archives ouvertes de la connaissance.
Quelle évolution depuis la mise en place d’un comité éditorial, à la rentrée 2017 ?
Cela fonctionne très bien. En témoignent le nombre d’ouvrages qui seront publiés en 2018 (24, contre 15 en 2017, hors revues), ou encore le nombre croissant des propositions de publications et de créations de collections qui nous sont adressées, y compris par des contributeurs d’autres universités. Notre nouvelle organisation nous permet de mieux anticiper notre activité et de coordonner notre planning éditorial en l’articulant à un certain nombre d’événements liés à la recherche.
Pouvez-vous nous en dire plus sur cette volonté de vous diversifier ?
Nous travaillons sur un projet de collection intitulée « Les mots de la science » : il s’agirait d’ouvrages de petit format, laissant la part belle à l’illustration et dans lesquels un scientifique expliquerait un concept central pour sa pratique. Les PUS se tournent plus que par le passé vers les communautés de chercheurs d’autres universités, il leur faut encore accroître leur ouverture vers la cité en contribuant à diffuser les résultats des travaux des chercheurs. Le succès du Dictionnaire culturel de Strasbourg 1880-1930 nous convainc qu’il existe un public pour ce type d’ouvrage. La reprise de nos ventes « au comptoir »*, l’organisation de braderies va dans le même sens, de même que l’organisation des rendez-vous comme Les PUS à l’oreille ou Savoirs en partage.
L’idée est aussi d’élargir votre catalogue, en l’ouvrant notamment aux sciences exactes ?
L’absence du Calendrier mathématique 2018 ne signifie pas la fin de notre ambition en la matière, au contraire. Parmi nos projets-phares pour la rentrée 2018, se trouve la réédition commentée du Calcul des probabilités à la portée de tous, ouvrage coécrit à Strasbourg et publié en 1924 par le mathématicien Maurice Fréchet et le sociologue Maurice Halbwachs. Ou encore le projet de création, avec le Jardin des sciences, d’une collection consacrée aux collections universitaires.
Propos recueillis par Elsa Collobert
* Dans les locaux des PUS, à la Maison interuniversitaire des sciences de l’Homme-Alsace (Misha).
Cinq personnes se consacrent à la gestion des salles au sein de la Direction des affaires logistiques intérieures (Dali). Un métier de contact, intéressant mais exigeant, comme l’expliquent Carine Erwein et Lydie Habillon.
69 salles d’enseignement, 27 amphithéâtres, quinze salles de réunion, cinq salles informatique, le tout dans quatorze bâtiments universitaires répartis entre le campus central et le campus historique : voici le petit royaume sur lequel règnent les cinq personnels du pôle Gestion de salles de la Dali. Ce petit pouvoir s’y partage néanmoins avec les composantes, qui autogèrent tout ou partie de leur espace et de leurs salles.
Carine Erwein et Lydie Habillon appartiennent toutes les deux à cette petite équipe, après des parcours vraiment différents. La première est entrée à l’Université Louis-Pasteur en 1978 comme agent d’entretien. Elle a occupé différents postes, avant de se spécialiser dans la gestion des salles, à la fin des années 1990. Depuis cette époque, elle assume cette mission pour laquelle elle a développé une expertise, participant au déploiement du logiciel ADE (gestion des salles), pour lequel elle est toujours formatrice. Quant à Lydie, c’est une jeune recrue du pôle, qu’elle a rejoint en septembre 2016. Elle est entrée à l’université en 2001 et y a aussi exercé des missions en composantes et en central, avant de se saisir de la gestion des salles appliquées à l’organisation d’événements institutionnels.
Alors, à quoi servent tous ces locaux ? À accueillir des cours, bien sûr, mais aussi à organiser des colloques, congrès, séminaires, journées d’étude, réunions, conseils, conférences, concours, HDR, soutenances de thèses, pour le versant « utilisation ordinaire » et aux vœux du président, aux journées portes ouvertes, aux concerts (Musica, par exemple), à la Fête de la science, aux dîners de gala, et autre cocktails post-colloques, pour le versant « événementiel ».
« On l’appelle Géo Trouvetout »
« Les gros événements institutionnels ou autres nécessitent une logistique particulière et plus lourde : sécurité, ouverture des locaux en dehors des heures de cours, ce qui nécessite une permanence d’un collègue de la Dali jusqu’à la fermeture du bâtiment, etc. », explique Lydie, qui précise : « Il y a aussi beaucoup de travail préparatoire avec les organisateurs et leurs prestataires de l’extérieur : traiteurs, son et lumière, sécurité, nettoyage… ainsi que les différents services internes de l’université comme le Service prévention, sécurité, environnement ; sureté et accès ; le Service de la communication, la Direction du patrimoine immobilier… »
Carine et Lydie s’accordent pour dire qu’elles aiment leur métier de contact, malgré un trafic d’informations impressionnant (en moyenne 450 mails et 100 appels téléphoniques par semaine), un bon niveau de stress car il faut parfois travailler dans l’urgence, gérer des imprévus fâcheux, affronter des interlocuteurs exigeants. « Mais globalement, cela se passe bien, précise Carine. Souvent, on reçoit des mails de remerciements, parfois des témoignages de reconnaissance. » « Il faut dire que Carine, c’est Géo Trouvetout, témoigne Lydie. Elle adore trouver des solutions à des problèmes qui semblent insolubles. » De son côté, Lydie aime accompagner les organisateurs d’événements. Elle aime la posture de négociation dans laquelle elle se trouve parfois et se dit même « aiguillonnée » par le stress. L’une comme l’autre soulignent qu’en tous cas, leur travail n’est jamais répétitif, toujours différent, ce qui les met définitivement à l’abri de l’ennui.
Caroline Laplane
Lire les précédents épisodes de la série consacrée aux métiers de la Dali :
« Chacun va à son propre rythme » : au Jardin des sciences, cinq collègues forment le cœur de l’équipe Zéro déchet de leur service. Depuis bientôt un an, elles proposent des gestes très simples dans leurs bureaux : des bacs de tri de papier près de l’imprimante, des tasses dans l’espace café pour remplacer les gobelets jetables, des serviettes en tissu pour déjeuner en minimisant les déchets…
« On n’oblige personne », nous dit Lucile Schneider. Chacun est libre de faire ce qui lui convient le plus, et de changer ses habitudes à son rythme. Les collègues sont invités à venir aux réunions de l’équipe, et à échanger sur les gestes quotidiens qui ont un impact sur notre environnement. « C’est l’occasion de se retrouver et de créer du lien » : le groupe se retrouve autour d’un apéro après le travail, d’un déjeuner au restaurant universitaire végétarien de l’Esplanade, ou encore lors d’événements écoresponsables, comme le Tour de France Agir ensemble, en novembre dernier. Ces moments de rencontre permettent aussi aux participants d’en apprendre plus sur les éco-gestes, comme cette simple distinction de tri : si le plastique a un bouchon, alors il est recyclable. Au cours de ces temps de partage, l’équipe décide des « missions » à mener à bien, tel qu’afficher un petit jeu de mots au-dessus de l’imprimante : « Au Jardin des sciences, on cultive le bon sens ».
Pour aller plus loin, avant le repas de service et l’échange de cadeaux de Noël, l’équipe a proposé d’emballer les cadeaux dans du tissu, plutôt que dans des papiers jetés immédiatement. Lucile, Milène, Marion, Amandine et Barbara pensent tout d’abord à accomplir ces éco-gestes pour respecter leurs propres convictions. Par la suite, elles font part de leurs initiatives en diffusant l’information par mail et par affiches aux endroits-clés, par exemple au-dessus des bacs de tri. Sans imposer quoi que ce soit, l’équipe Zéro déchet du Jardin des sciences propose des alternatives vertes au quotidien.
Laura Christmann et Clarisse Pham
Carole Bridault-Louchez, organisatrice des ateliers Zéro Déchet
« Créer un lien entre des collègues de différents services, et de les réunir autour d’une thématique commune à toutes et tous » : c’est le but des huit ateliers Zéro déchet organisés depuis l’année dernière en partenariat avec le Service pour la promotion de l'action sociale (Spacs). Plus qu’une simple formation, ces ateliers collectifs s’adressent aux curieux comme aux initiés. Les gestes quotidiens de valorisation et de réduction des déchets sont au cœur des échanges entre les formatrices, les personnels et les enseignants-chercheurs de l’université et du CNRS. C’est aussi l’occasion de partager son expérience avec des collègues également engagés dans le développement durable. Carole Bridault-Louchez envisage aussi l’organisation de davantaged’ateliers pratiques, comme un repair-café ou des visites de terrain.
En savoir plus
Qu'est-ce que l'Europe ? Comment la penser au-delà des slogans ? Pour esquisser sous formes de mots des réponses à ces questions, l’Université de Strasbourg donne pour la troisième année carte blanche à une auteure de culture européenne, dont le parcours enjambe les frontières : cette année, la Grecque Soti Trianfyllou.
Après l’Islandaise Steinunn Sigurðardóttir, en 2015, et la Roumaine Liliana Ursu, c’est l’auteure grecque Soti Trianfyllou qui est la lauréate de la résidence d’écrivains Écrire l’Europe*, en 2018.
Comme les années précédentes, le projet s'articule autour de deux axes principaux : une série de quatre conférences de l'écrivain en résidence à la Bibliothèque nationale et universitaire de Strasbourg (BNU), du 23 janvier au 27 mars, doublées d’autant d’ateliers d’écriture créative à destination d'une vingtaine d'étudiants venus de tous les horizons, pouvant donner lieu à une publication sous forme de livre.
Le programme de résidences d'écrivains « Écrire l'Europe » est porté par la Faculté des langues et en partenariat avec la Bibliothèque nationale et universitaire de Strasbourg. Ce projet vise à susciter et promouvoir le débat au sein de l'Université de Strasbourg mais aussi des institutions européennes et parmi le public strasbourgeois autour des enjeux de la culture européenne contemporaine.
* Bénéficie du soutien des Investissements d’avenir et de la Bibliothèque nationale et universitaire.
Chaque année, la Journée internationale des maladies rares a lieu le dernier jour de février. De nombreuses manifestations sont organisées dans une centaine de pays pour y sensibiliser le grand public. À Strasbourg se tiendra cette année un évènement co-organisé par Rarenet*, le projet franco-allemand de recherche et de formation autour des maladies rares porté par l’Unistra.
Une maladie est dite « rare » lorsqu’elle touche moins d’une personne sur 2 000. Mais peu de gens savent qu’ensemble, les maladies rares concernent plus de 3 millions de personnes en France ! Le but du Rare Disease Day est donc d’attirer l’attention du grand public et des décideurs sur ces maladies et leur impact sur la vie des personnes concernées.
Rarenet s’associe avec la filière de santé Maladies rares Sensgene et l’Alliance maladies rares afin de proposer un évènement, mercredi 28 février. Un stand d’information sera animé, de 10 h à 20 h, au Centre commercial Rivetoile, avec des activités originales prévues tout au long de la journée. Une conférence sur « L’implication des patients dans la recherche » se tiendra entre 15 h et 18 h, à la Faculté de chirurgie dentaire. Et un temps fort aura lieu à 14 h : venez unir vos mains le temps d’une photo afin de montrer votre soutien à la lutte contre les maladies rares !
* Co-financé par le Feder de l’Union européenne, dans le cadre du programme Interreg V Rhin supérieur
La Direction du numérique (DNum) lance son enquête de satisfaction sur les prestations et services rendus en 2017.
Cette enquête, courte et anonyme, est ouverte à tous les utilisateurs, personnels, enseignants, chercheurs ou étudiants.
Elle permet autant d’identifier des axes de progrès en fonction des problématiques remontées que de constater les résultats des travaux entrepris au cours de l’année passée. C’est donc un élément important du plan d’amélioration continue de la DNum.
La Direction des relations internationales (DRI) propose une nouvelle façon de soumettre les projets de coopérations internationales. Plus simple, plus cohérente et mieux encadrée, cette procédure permet de traiter vos demandes de coopérations internationales avec efficacité et rapidité. Elle est accessible en ligne depuis l’Espace numérique de travail (ENT).
En pratique, comment ça marche ?
Première étape : je me connecte au formulaire de projet de coopération internationale. Si c’est ma première connexion, je m’inscris pour activer mon compte en ligne. Je renseigne les informations demandées, dont un avant-projet de la coopération. Je soumets mon projet en ligne. Il est alors automatiquement présenté au prochain Bureau relations internationales*. Je suis informé par email de la suite qui lui est donnée.
Deuxième étape : si je reçois une réponse favorable, je me connecte à nouveau au formulaire de projet de coopération internationale pour renseigner un projet détaillé de la coopération. Plus précis, il décrit en détail les modalités du partenariat. Les informations que j’ai renseignées en ligne sont alors utilisées pour rédiger l‘accord. Les ingénieurs projets internationaux du pôle Coopération internationale se chargent dès lors de l’établissement du partenariat.
Qui contacter ? Pour toute question relative à cette nouvelle procédure, vous pouvez contacter les ingénieurs projets internationaux par courriel.
* Le Bureau relations internationales est composé de l’équipe des vice-présidents Relations internationales et de la Directrice des relations internationales.
Depuis plusieurs mois, l’université et le CNRS ont renforcé leur collaboration pour promouvoir les outils d’internationalisation de la recherche développés par le CNRS. L’objectif est d’inciter les chercheurs et enseignants-chercheurs des laboratoires du site strasbourgeois à se les approprier et à candidater.
Réseau de recherche international (IRN)*, Laboratoire international associé (LIA)*, Projet international de coopération scientifique (PICS), Projet de recherche conjoint (PRC) ou encore Unité mixte internationale (UMI) : les cinq principaux dispositifs d’accompagnement à la collaboration internationale des laboratoires mis en place par le CNRS sont encore trop peu connus des scientifiques strasbourgeois.
« Ces outils permettent pourtant aux chercheurs d’augmenter leur force de frappe dans le cadre de nombreux appels à projets d’envergure internationale. Chercheurs et enseignants-chercheurs des laboratoires affiliés au CNRS peuvent y prétendre », souligne Philippe Turek, vice-président délégué aux Relations internationales, en charge de la coordination formation-recherche à l’international.
Des outils performants mais mal connus
Depuis deux ans, le CNRS révise et adapte les procédures d’instruction des dossiers de candidatures, afin de mettre ses outils structurants au service des universités. De son côté, l’université souhaite développer une stratégie internationale conjointe avec le CNRS. « La Direction de la recherche et de la valorisation de l’université et la Direction Europe de la recherche et coopération internationale du CNRS travaillent de manière rapprochée depuis plus d’un an. Nous avons mené une phase pilote pour construire notre stratégie commune. Fin 2017, la commission de la recherche a validé notre procédure », explique Philippe Turek. Objectif : dynamiser les relations internationales et renforcer le rayonnement de l’université. Pour ce faire, une enveloppe financière de 70 000 € a été débloquée pour 2018. « En plus du financement accordé par le CNRS, un soutien de 3 000 € sera alloué si le projet est coordonné par un chercheur ou un enseignant-chercheur membre d'un laboratoire rattaché à l'Université de Strasbourg, et 1 500 € s’il est partenaire », détaille Philippe Turek.
Une procédure partagée
Très concrètement, les deux partenaires ont décidé d’instruire les dossiers en parallèle et d’apporter un soutien institutionnel et financier concerté pour les LIA et les IRN. « Les scientifiques sont invités à soumettre leurs demandes au fil de l’eau, à la fois à la Direction de la recherche et de la valorisation de l’université et au CNRS. Leurs dossiers seront examinés par un comité formé de membres de la commission de la recherche qui se réunira quatre fois par an ». Qualité du projet scientifique, qualité de la coopération jugée notamment par la complémentarité des équipes, pertinence de la gouvernance, liens avec la formation et adéquation avec la stratégie relation internationale en matière de recherche et de formation, seront les critères principalement examinés.
Fin 2017, le site strasbourgeois comptait trois IRN et dix LIA actifs, dont un IRN et cinq LIA coordonnés par des chercheurs strasbourgeois. Onze nouveaux dossiers ont d’ores et déjà été instruits à l’université. Si l’évaluation du CNRS est concordante, les conventions et créations juridiques seront effectives dans l’année.
Anne-Isabelle Bischoff
* Les IRN et LIA sont des structures de recherche constituées entre partenaires français et étrangers autour d’un projet ou d’une thématique scientifique. Les partenaires mettent en commun des ressources humaines et matérielles pour mener leurs projets. De taille variable selon les disciplines et les pays partenaires, ils sont dotés d’un comité de coordination et agréés pour une durée de quatre ans. Ils sont renouvelables une fois.
Février | Mars | |
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Conseil académique (CFVU+CR) 14 h - Mardi | / | 27 |
Congrès (CA+CFVU+CR+CTE) 14 h - Mardi | / | / |
Conseil d'administration (CA) 14 h - Mardi | / | 13 |
Commission de la formation et de la vie universitaire (CFVU) 14 h - Mardi | 20 | 20 |
Commission de la recherche (CR) 14 h 30 - Mercredi | 7 | / |
Conférence des directeurs de composantes 14 h 30 - Mardi | 6 | 6 |
Conférence des directeurs des unités de recherche 10 h - Vendredi | 16 | / |
Réunion des responsables administratifs de composantes et des chefs de services centraux 9 h - Lundi | / | 19 |
Comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail 14 h - Lundi | / | 26 |
Comité technique d'établissement (CTE) | 8 | / |
Conseil académique restreint (CACr)* | 16 (9h) | 16 (9h) |
Conseil d'administration restreint (CAr)* | / | / |
* Prévisionnel |
Envoyez votre info à medias@unistra.fr avant le mardi 13 mars midi pour une parution le vendredi 16 mars 2018. Consultez les dates des prochains numéros.